Maman teste

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La motricité libre : c'est quoi ?

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En tant que parents (et encore plus lorsque c’est le premier enfant), on se pose sans cesse mille et une questions. Faut-il faire ceci, ou plutôt cela ? Peut-on essayer cette façon de faire, ou ne vaut-il mieux pas ? Devrais-je réagir plutôt de cette manière ? Suis-je assez comme-ci, ou trop comme ça ? Suis-je un bon parent ?

 

Toutes ces questions reviennent en masse lorsqu’il s’agit de l’accompagnement du tout petit, dans son développement psychomoteur.

 

Avant toute chose, je tiens à préciser que je ne suis pas professionnelle en la matière : je ne suis qu’une maman en herbe, passionnée par tout ce qui touche à la petite enfance, mais qui reste une débutante.

Toujours est-il qu’avant même que le Petit Ours vienne au monde, j’avais beaucoup entendu parlé du fameux concept de motricité libre, et lu de nombreux articles et témoignages à ce sujet. C’est donc tout naturellement que j’en ai parlé à Mister A, et tout conquis que nous étions, nous avons mis ça en œuvre avec le Petit Ours.

 

  • La motricité libre : qu’est-ce que c’est ?

 

C’est partir du principe qu’un bébé, dès son plus jeune âge, est doté de capacités pour apprendre par lui-même. Ce principe de base est d’ailleurs applicable à plein de domaines d’apprentissage de l’enfant, mais on va se concentrer ici sur le développement de la motricité lors des premiers mois de vie.

 

  • En pratique, ça donne quoi ?

 

Tout simplement, au lieu de sur-stimuler bébé ou de faire les choses à sa place, on le laisse évoluer à son rythme et par lui-même.

Quelques exemples de ce qu’on a mis en place (ou pas !) chez nous :

 

                - Le parc : pas chez nous !

 

On en a un, mais il n’est finalement jamais sorti de la cave ! Nous avons préféré éviter « d’enfermer » le Petit Ours dedans. Nous avons plutôt aménagé un espace sécurisé au sol, lui permettant de bouger à sa guise. De cette façon, il était totalement libre de ses mouvements et d’explorer le monde au rythme de ses envies… sous haute surveillance tout de même ;)

 

                - Le transat : le moins de temps possible

 

Nous avons aussi évité de le laisser de façon prolongée dans un transat : ça reste très pratique pour les repas, mais bébé y est très limité dans ses mouvements. Donc le reste du temps il était par terre, à observer, se trémousser, tenter d’attraper les objets posés à côté de lui…

 

               - La position assise : à acquérir seul

 

Nous avons évité autant que possible de le « mettre assis ». Evidemment, les enfants qu’on « met assis » apprennent vite à se tenir dans cette position… mais ils s’y retrouvent bloqués, et sont obligés de réclamer l’aide de l’adulte pour attraper un objet qui est trop loin / se remettre allongé, etc. Cela peut être source de grande frustration pour un tout petit.
Nous avons plutôt laissé le Petit Ours apprendre tout seul à s’asseoir. Il a mis un peu de temps, bien-sûr, mais lorsque ça a été acquis ça a roulé tout de suite comme sur des roulettes : il était capable de passer d’une position à l’autre tout seul, sans aucun souci. C’était donc bien moins frustrant pour lui !

 

                - Un environnement 100% adapté

 

Une fois un peu plus grand et capable de se déplacer (sur le ventre puis à 4 pattes, 2 techniques apprises totalement par lui-même), nous avons adapté son environnement : déplacé les objets dangereux hors de sa portée, mis à disposition des jouets à différents endroits, sécurisé tout ce qui avait besoin de l’être, placé des objets du quotidien à des endroits stratégiques (sachez qu’un pack de bouteilles d’eau couché sur le côté est à la hauteur parfaite pour qu’un tout petit apprenne à se lever seul !)… Bref, le but était de créer un environnement sécurisé et rassurant, favorable à son besoin d’exploration et de développement de ses capacités moteur.

Nul besoin de préciser sa joie quotidienne de pouvoir partir à l’aventure entre les pieds de chaises, ou encore de ramper sous la table basse à la recherche d’un jouet égaré…

 

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  • La conclusion, à presque 1 an ?

 

Je ne pourrai pas vous dire si Petit Ours s’est développé plus rapidement qu’un autre. D’ailleurs, ce n’est pas (du tout) le but !! Chaque enfant grandit à son propre rythme. L’idée est plutôt de l’accompagner en l’encourageant à avoir confiance en ses propres capacités.

 

Au final, ce que je peux vous dire c’est que le Petit Ours est un bébé qui ne s’est jamais ennuyé. Libre de ses mouvements, mais surtout d’explorer ses capacités motrices et le monde qui l’entoure, il a toujours été curieux de tout… et assez indépendant, finalement !

 

  • Et après la marche ?

 

La motricité libre a des effets positifs à long terme : elle permet à bébé d’acquérir des bases solides en matière de motricité, mais aussi et surtout de prendre confiance en lui, en ses propres capacités. De ce fait, plus tard il aura aussi moins de mal à se détacher de ses parents et gagner en autonomie, plein d’assurance pour aller découvrir le monde !

 

 

Pour compléter cet article, je vous propose de vous rendre sur ce site, qui présente avec des dessins très simples tout ce que je viens d’expliquer ici : https://bougribouillons.fr/motricite-libre

08/03/2018
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Au secours : bébé a un rhume !

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photo : http://mybabyinamerica.com

 

Aujourd’hui on va parler de la Rhinopharyngite, ou comment un simple rhume peut devenir le calvaire des parents !

 

La rhinopharyngite, malgré son nom un peu barbare, désigne « seulement » un simple rhume. Enfin, « simple », pas tant que ça ! Si le rhume est plus que banal chez un adulte, pour un tout petit il peut rapidement vous faire devenir chèvre.

 

Imaginez plutôt…


3h du matin. Après un endormissement difficile, vous avez à peine profité de quelques heures de sommeil que déjà, bébé s’est réveillé et vous appelle en s’égosillant. Vous lui redonnez sa tétine : technique imparable pour le calmer lors des réveils nocturnes… mais pas cette nuit ! Il pleure de plus belle. Evidemment, il a le nez tellement pris : avec une tétine dans le bec, le voici bien embêté pour respirer.

 

3h10. Après quelques minutes de câlins inefficaces, vous prenez votre courage à deux mains et vous lancez dans une séance de rinçage de nez (ou « séance de torture pour nourrisson », ça revient au même). On vous l’a bien expliqué : ce n’est marrant ni pour vous ni pour lui, mais tant qu’il ne sait pas se moucher c’est la seule solution pour venir à bout de cette fichue rhino-machin-truc. Allez : vous prenez la pipette de sérum physiologique dans une main, vous bloquez la tête de bébé de l’autre… et c’est un carnage : il se débat, donne des coups de pieds, vous repousse de toutes ses forces, et la moitié de la pipette se retrouve sur le matelas à langer. Plus qu’à recommencer.

 

3h27. Après une lutte intense et acharnée, vous reprenez dans vos bras un petit être effrayé (et hurlant à la mort comme si on l’égorgeait, mère indigne, qu’avez-vous donc fait ?). Il se blottit contre vous, en vous étalant au passage une belle coulée de morve sur l’épaule. Vous entendez au son que fait sa respiration qu’il a encore le nez plein… mais que faire de plus ?

 

3h45. Un petit moment déjà que vous bercez votre progéniture, en espérant qu’elle se rendorme enfin. Vous avez tout tenté : les mouvements lents, les petites caresses, les bercements plus intenses, vous avez même poussé la chansonnette en espérant qu’une petite berceuse aurait raison de lui… Et ô miracle, bébé se calme enfin et ferme même les yeux.

 

4h05. Trois fois déjà que vous tentez de le reposer dans son lit, et à chaque fois c’est pareil : à peine faites-vous demi-tour que les hurlements reprennent. C’est reparti pour un tour. Bercements, caresse, berceuse, et on repose bébé dans son lit…

 

4h23. Ça y est. Vous avez enfin réussi à sortir de sa chambre sans qu’il vous rappelle à l’aide. Ouf. C’est à pas de loup que vous regagnez votre lit, en priant pour que le parquet ne craque pas. Et enfin, vous pouvez refermer les yeux… jusqu’au prochain réveil !

 

 

La rhinopharyngite, ce simple petit rhume si anodin, qui deviendra l’ennemi de vos nuits et hantera vos journées. Car oui, si par chance la journée est plus facile que la nuit, vous la passerez à élaborer un plan d’attaque pour la nuit suivante, en espérant trouver LA solution qui vous aidera à DORMIR.

 

Alors si vous êtes une maman (ou un papa Clin d'œil ) désespéré à la recherche d’un peu d’aide pour combattre la terrible rhino, je vous proposerai très bientôt un article avec nos trucs et astuces, testés et approuvés !


29/09/2017
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Allaitement : mes trucs & astuces

Récemment je vous exposais, sans tabou, la réalité de mon allaitement. Une réalité pas toujours facile à accepter, et encore moins à assumer…

 

Aujourd’hui, je vous livre ces petits trucs qui m’ont été indispensables pour ne pas tout laisser tomber dès le début. Des petites astuces qui vous faciliteront peut-être aussi la vie !

 

 

  • La base : se servir du pouvoir magique du lait maternel !

Et oui, en plus de ses multiples bienfaits pour bébé, le lait maternel a des propriétés étonnantes. Entre autre, il est très bon pour la peau. Il l’hydrate et la protège, à moindre coût !
Et le must, c’est qu’il aide à prévenir les crevasses.

Pour cela, rien de plus simple : après chaque tétée, et aussi régulièrement que possible dans la journée,  faites couler 2 ou 3 gouttes de lait que vous étalerez su le mamelon. Ca sèche rapidement, et il faut dire que c’est assez efficace tant que le mamelon n’est pas abîmé.

 

  • Le Must have : la pommade d’allaitement

Le lait, c’est très bien. Mais parfois ça ne suffit pas. Et par prévention, pour être sûre de mettre toutes les chances de son côté pour débuter le mieux possible l’allaitement, je vous conseille d’utiliser aussi une pommade.

Il y en a des connues (et très, très chères) comme la Lansinoh. Personnellement, j’ai préféré tester en premier lieu la moins chère que j’ai trouvée (en me disant : au pire, si ça ne suffit pas j’achèterai celle qui est 5 fois plus chère) : la pommade au Castor Equi. Eh bien, elle a très bien fonctionné !

En somme, ce qui importe vraiment, c’est d’utiliser une pommade qui graisse bien, bien (bien, bien, bien) le mamelon. Ne pas hésiter à en mettre une bonne couche ! Croyez-moi : ça peut sauver votre allaitement !

Et dans tous les cas, ne vous en faites pas : c’est surtout pour les premiers jours. Une fois l’allaitement bien démarré (comptez une dizaine de jours environ), vous devriez pouvoir vous en passer.

 

  • Les coussinets d’allaitement : in-dis-pen-sables !

Ma sage-femme m’avait conseillé d’en acheter qu’un petit paquet. D’après elle, très peu de femmes ont des « fuites », ce n’est donc pas très utile… Mais en fait si !

Personnellement, au début je ne pensais pas en avoir besoin. Aucun souci de fuite. Et pourtant… c’est très utile, les premiers jours, si vous voulez protéger votre mamelon avec de la pommade ! A moins que vous ayez envie de retrouver de belles tâches sur vos soutiens-gorge...

Et puis, finalement, c’est au bout de 2 mois que j’en ai eu encore plus besoin : quand bébé tétait d’un côté, le lait sortait aussi de l’autre côté… parfois même un coussinet ne suffisait pas : c’était assez impressionnant ! Bref : j’étais contente d’en avoir en réserve dans mon placard…

 

  • Le haut d’allaitement : oui, mais…

De nos jours, on commence à pouvoir trouver dans certains magasins des hauts d’allaitement à peu près portables. Malgré tout, il n’y a pas un choix débordant : je n’ai pas trouvé très facilement des hauts qui étaient pratiques et qui ne me faisaient pas ressembler à une grosse patate jolis.

Donc au final, j’ai surtout suivi un (autre !) précieux conseil de ma sage-femme : mettre un joli petit haut avec un col un peu large ou un peu élastique, avec un débardeur en dessous.

L’idée, c’est que quand bébé a faim, il vous suffit de soulever le débardeur (qui cachera le dessus de votre poitrine), et de baisser un peu votre haut (qui pourra donc cacher votre bidon). De cette façon, pas besoin de se retrouver à moitié dénudée : on ne laisse sortir que ce qui est indispensable ;)

Croyez-moi, ça marche très bien. Et l’avantage, c’est que ça ne demande aucun investissement particulier !

 

  • Lange, mon amour

Et enfin, le dernier mais non le moindre : le lange.

Là, c’est vraiment une question de choix personnel : êtes-vous assez à l’aise pour allaiter en publique sans vous cacher ? Personnellement, ça ne me choque pas : il n’y a rien de plus naturel que ça, et si on s’arrange pour ne pas se retrouver à poil, où est le problème ?

Mais de mon côté, malgré mon vis sur la question, je savais pertinemment qu’il n’était pas partagé par tout le monde. Je n’étais pas à l’aise avec ça (disons-le clairement : j’avais presque honte d’allaiter en publique, tout en étant révolté que la société me fasse avoir honte). Alors pour ne pas me retrouver à me cloîtrer chez moi, en plus de l’astuce du haut + débardeur, j’emportais toujours un lange avec moi, que je plaçais le long de mon bras, du côté où bébé tétait.

Pareil ici, l’investissement financier est quasi nul : les langes, c’est tellement pratique avec un bébé, que j’en avais de toute façon un petit stock à la maison !

 

 


 

Et vous, vous en avez des petits trucs & astuces pour être plus à l’aise pour allaiter ?

03/08/2017
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Allaiter son bébé : pourquoi ?

Je ne vais pas vous le cacher : cet article va surtout traiter de toutes les belles choses positives autour de l’allaitement.

 

Mais pour rester réaliste, et parce que l’allaitement ne m’a pas vraiment fait plonger dans le monde des Bisounours, je ferai aussi un article sur mon vécu, mon ressenti… et les difficultés que j’ai pu rencontrer.

 

 Et avant toute chose, je tiens à préciser qu’en aucun cas je ne juge celles qui prennent la décision de ne pas allaiter (et je souhaite encore moins culpabiliser celles qui, pour x raisons, ne peuvent pas allaiter). Il s’agit juste donner, à celles qui se posent la question, quelques clés pour prendre une décision. Je vous conseille d’ailleurs, en complément de cet article, de lire celui où je partagerai mon expérience personnelle. Vous verrez qu’en pratique, les choses ne sont pas toujours roses non plus, avec l’allaitement :)

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Aujourd’hui, dans cet article, on reste donc dans la bonne humeur et les paillettes : on va parler de toutes les raisons qu’il peut y avoir à allaiter bébé J

 

  • C’est ce qu’il y a de meilleur pour lui

Autant commencer par le commencement : si l’allaitement existe, c’est que comme souvent, la nature fait bien les choses.
Un bébé, ce n’est pas un adulte en miniature. Eh non ! Un bébé, ça a des besoins bien spécifiques, en particulier en matière d’alimentation. Et il se trouve que comme par magie, après avoir abrité ce petit être pendant des mois et lui avoir permis de se développer, la mère produit naturellement un lait qui correspond parfaitement aux besoin de son enfant. Bien plus encore : il est la seule nourriture utile à sa croissance des premiers mois, il s’adapte à ses besoins au fil du temps, et il lui transmet tout un tas d’anticorps.
Ces anticorps, si vous vous posez la question, sachez qu’on n’en retrouve pas dans le lait artificiel.

De plus, un bébé ne peut pas être « intolérant » au lait de sa mère, puisqu’il est conçu exprès pour lui. A l’inverse, il est parfois difficile de trouver un lait artificiel qui soit bien toléré par bébé, et il faut parfois plusieurs tentatives avant de trouver le bon.

 

  • C’est pratique !

Pas besoin de trimbaler tout un tas de matériel dès qu’on quitte la maison plus de 30min. Pas besoin de se coltiner un sac XXL pour contenir tout ce matériel. Pas besoin de verser de l’eau, de compter le nombre de cuillères de poudre, de secouer le biberon, de le faire chauffer, et tout cela 8 à 12 fois par jour. D’ailleurs, pas besoin non plus de s’inquiéter de savoir si on pourra ou non chauffer le biberon en cas de sortie je ne sais où.

Non ! Vous avez tout ce qu’il faut avec vous, en tout temps, et où que vous alliez. Un gain de place, un gain de temps, et quelques prises de têtes en moins !
Allez, si on veut chipoter, disons qu’il vous faudra simplement emporter un lange pour pouvoir allaiter discrètement. Mais ce n’est pas une obligation : chacune gère la chose comme elle l’entend, le tout est d’être à l’aise !

 

  • C’est (super) économique !

On en parle trop peu (bouh, la maman pourrie qui allaite pour économiser des sous !), mais c’est une réalité non négligeable : le lait en poudre, ça coûte un bras (voire même deux), et encore pire si votre loupiot supporte mal celui que vous avez acheté (et hop, 15€ à la poubelle… plus qu’à espérer que la prochaine boîte sera la bonne !).

Alors si les finances sont tendues à l’arrivée du ptit bout, voilà de quoi vous réjouir un peu (si vous avez choisi d’allaiter, en tout cas).

 

  • C’est bien pour votre bidou-post-accouchement

Ou plutôt, pour perdre votre bidou-post-accouchement. L’allaitement, les premiers jours, fait se contracter l’utérus, qui reprend sa place initiale bien plus rapidement. Testé et approuvé : 4 jours après mon accouchement, tout s’était déjà remis en place là-dedans… Ne me restait plus qu’à perdre les quelques kilos en trop ;)

 

  • Ça aide à perdre un peu de poids

En parlant des quelques kilos en trop… l’allaitement aide aussi à brûler un peu de graisse.
Alors ne rêvez pas, en général il faut quand-même quelques mois et de l’exercice et éviter de se goinfrer de sushi saucisson foie gras sous prétexte qu’on a du s’en priver pendant 9 mois pour retrouver une taille de guêpe… Mais ça aide quand-même beaucoup ! Personnellement, 18 jours après l’accouchement je rentrais de nouveau dans mes jeans. Bon ok, j’avais encore une bonne brioche à perdre, mais c’était déjà très bien !!

 

  • Ca réduit le risque de Baby Blues

Chez beaucoup de femmes, l’allaitement va libérer de l’ocytocine, appelée aussi « hormone du bonheur ». C’est ce qui peut vous rentre totalement béate et pleine de <3 love <3 en regardant votre marmot vous aspirer la poitrine.
Mais on va arrêter les paillettes 2 minutes : ça n’assure pas à 100% le fait de ne pas passer par le fameux Baby blues, ça ne va pas non plus faire disparaitre comme par magie votre épuisement post-accouchement-et-multiples-nuits-blanches-remplies-de-hurlements-de-nourrison. Non, non. Mais ça peut aider un peu à surmonter cette période horrible merveilleuse que représentent les premières semaines de vie de votre bambin :)

 

  • Ca favorise le lien mère-enfant

Votre bébé sera inévitablement dépendant de vous, et passera de longs moments collé à vous, à vous regarder avec ses petits yeux craquants, la main posée tendrement sur vous. Ces longs câlins, il n’y a pas mieux pour tisser un lien particulier avec votre loulou.

 

 

Pour toutes ces raisons, j’ai personnellement choisi de tenter l’allaitement, avec mon N°1. Ca n’a pas toujours été facile, mais le fait d’avoir tout ça en tête m’a aidée à persévérer dans mon choix, et aujourd’hui je ne le regrette pas !

 

 

Et vous, que pensez-vous de tout cela ? Votre avis m’intéresse, même s’il est différent du mien !

24/07/2017
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